ARLETTY...
comme un œuf dansant au milieu des galets
CRÉATION MONDIALE
2021/22
De Koffi Kwahulé
Mise en scène Kristian Frédric
© Record Eye
Ils en ont dit... ils sont unanimes !
(...) L’égérie du cinéaste Marcel Carné, inoubliable Garance des Enfants du Paradis face à Pierre Brasseur et Jean-Louis Barrault (...) dont Koffi Kwahulé s’empare avec appétit dans une langue à la fois exaltée et heurtée que porte avec ardeur la comédienne Julia Leblanc-Lacoste, peau diaphane, lèvres rouges, sexy et rock’n roll, révélation de ce seule en scène intense qui ne s’embarrasse ni de réalisme ni de psychologie.(...)Kristian Frédric, à la mise en scène et à la tête de la Cie Lézards qui Bougent, traque l’ambiguïté au cœur même du personnage pour mieux nous déstabiliser. Son Arletty est une artiste face à elle-même devant le miroir de sa loge qui se retourne sur sa vie, son Arletty est une comédienne qui répète son texte avant d’entrer en scène, son Arletty est une femme d’aujourd’hui qui s’acharne à être libre contre les détenteurs de la morale. Son Arletty est dansante et charnelle, musicale, multiple et insaisissable au fond mais entière, gourmande, rieuse, amoureuse. En un mot, affranchie.
Marie Plantin – Sceneweb
https://sceneweb.fr/julia-leblanc-lacoste-dans-arletty-comme-un-oeuf-dansant-au-milieu-des-galets/
"Kristian Frédric met en scène Julia Leblanc-Lacoste pour une traversée schizophrénique de l’amour au goût d’opprobre sur la partition fulgurante de Koffi Kwahulé. [...]
Arletty et Julia Leblanc-Lacoste retournent des torgnoles à l’existence avec un aplomb désopilant et un humour qui a tout de la politesse du désespoir : on peut crisper la mâchoire face à la provocation de la passion assumée pour l’ennemi, mais on sourit forcément devant la force de ceux qui pensent que l’amour vaut mieux que l’honneur.
Catherine Robert - La Terrasse
Marseille - Arletty, comme un oeuf dansant au milieu des galets ne se regarde pas comme n’importe quel divertissement, il se vit et prend aux tripes. Par le truchement d’une jeune comédienne se préparant à entrer en scène pour interpréter Arletty, Koffi Kwahulé dénonce l’humiliation, la nation bien pensante, le patriarcat, la schizophrénie, le pouvoir. En défendant Arletty, il affranchit toutes les femmes.
Danielle Dufour-Verna - SORTIR
https://www.arts-spectacles.com/
"Vidéo ajoutée, utilisation de la musique et d'une chanson-refrain,« Arletty. .. comme un œuf dansant au milieu des galets » (quel beau titre vraiment!) donnée dans un théâtre Toursky de Marseille tout entier acquis à sa cause, doit bien entendu la part de sa magie au texte et au travail précis de Kristian Frédric mais aussi à l'interprétation inoubliable et habitée de Julia Leblanc-Lacoste. Définissant Arletty comme
« une punk, un diamant brut portant l'Amour en étendard» cette actrice qui formée au théâtre physique a traversé avec le même éclat l'écriture de Feydeau, Edward Bond, Mishima, Pasolini, Pinter, Fassbinder ou Wedekind ou le Heiner Muller de« Quartet » nous la rend nécessaire et humaine plus qu'humaine. Elle saute, elle danse, elle joue, elle chante, elle impressionne, séduit, avec une nette autorité et emplit l'espace avec une telle puissance poétique qu'on se dit qu'avec elle oui Arletty a vraiment
« une gueule d'atmosphère »
Jean-Rémi BARLAND - Destimed Marseille
https://destimed.fr/Marseille-Theatre-Toursky-Julia-Leblanc-Lacoste-dans-la-peau-d-Arletty-a
« Atmosphère ! Atmosphère ! Est-ce que j’ai une gueule d’atmosphère ? » lance-t-elle devant l’Hôtel du Nord à un Louis Jouvet voulant changer… d’atmosphère. Et Julia Leblanc-Lacoste est parfaite en Arletty. La voix, imitée, fait merveille. Et des tranches de vie défilent, comme quelques refrains. Avec une longue séquence sur l’artiste jugée à la Libération pour avoir fréquenté un officier nazi de bien trop près. C’est souvent drôle, touchant, et très juste.
L'HUMANITÉ - Gérard Fossi vu au Théâtre Le Petit Chien dans le cadre du Festival d’Avignon
"(...) Kristian Frédric assure avec acuité la mise en scène, et la scénographie judicieuse, de ce seul en scène fougueux émaillé de nombreuses citations dans lequel Arletty se dessine comme la figure tutélaire d'une une actrice d'aujourdhui.
Il est dispensée par Julia Leblanc-Lacoste comédienne à la belle palette dramatique et au jeu organique qui, certes, restitue le franc-parler, la gouaille et l'insolence de la protagoniste, mais surtout porte magistralement cet exercice d'admiration.
Martine Piazzon - Froggydelight
https://www.froggydelight.com/froggydelight.php?article=24916
"(...) Un seul en scène à la fois intrigant et captivant, porté par une comédienne époustouflante.
Une Arletty presque plus vraie que nature !
Bonheur également de découvrir Julia Leblanc-Lacoste, tout simplement épatante dans ce rôle. C’est une véritable mise à nu à laquelle elle se livre à travers ce monologue. Et on ne parvient pas à la lâcher du regard tant il y a dans son interprétation quelque chose de brut, d’habité, de sans concession. De rock’n roll aussi. Quelque chose d’Arletty finalement !Le texte très documenté de Koffi Kwahulé est dense, saccadé, ponctué d’effets de répétition et de ruptures de rythme. À des élans de colère succèdent des moments de douceur, de beauté, tandis que des instants de réflexion au présent se mélangent aux souvenirs dans une mise en scène sobre. Et c’est sur le paravent ainsi que sur le cadre du miroir de la loge qu’apparaissent des projections vidéo et autres effets lumineux assez discrets.
Mélina Hoffmann - L'info tout court
https://linfotoutcourt.com/critique-arletty/
"(...) L’Arletty de Koffi Kwahulé, l’auteur du texte, n’est qu’une boule de vitalité, de sensualité, qui vit pour l’amour et la jouissance sous toutes ses formes. Le personnage ne baisse jamais la garde et fait face avec une gouaille jetée à la face du monde, en revendiquant une liberté sexuelle avec des partenaires multiples et des amours lesbiens.
L’actrice s’engage totalement, muscles, talons, cou, peau de velours ; elle investit l’espace avec beaucoup de justesse. Ses ruptures mélodiques sont ciselées, de la bravade insolente à la grâce d’un léger pas de danse autour du coffre, les doigts caressant le tissu, le regard perdu dans les méandres de l’âme.
Grotowsky prônait un théâtre pauvre où seuls l’acteur et le spectateur étaient essentiels. Dans un écrin à bijoux, Julia Leblanc-Lacoste est Arletty, le rôle semble écrit pour elle.
Sylvie Boursier - Double Marge Revue Littéraire
https://revuelitteraire.fr/arletty-au-lavoir-moderne-parisien/
"Julia Leblanc-Lacoste au fil des personnages qu’elle interprète donne toute sa puissance de jeu, son regard perçant, dans la lumière incandescente de ses yeux qui nous donnent de l’Amour, de la vie, dans des émotions palpables qui donnent le frisson.
Un spectacle que vous devez insérer dans le programme de votre vie : une vision juste de notre société.
Bruno Rozga - Le billet de Bruno
https://lebilletdebruno.com/2021/11/30/arletty-comme-un-oeuf-dansant-au-milieu-des-galets/
"Julia Leblanc-Lacoste incarne avec intensité toute la liberté de cette femme qui ne vivra sa vie qu’avec passion et sincérité.
Dans une mise en abyme subtile, Julia Leblanc-Lacoste porte à la fois le personnage d’Arletty et celui de la comédienne qui l’interprète. Ce double regard exulte tout l’écho de cet esprit libre et insoumis qui résonne fort avec les combats féministes actuels."
ARTS MOUVANTS - CHRONIQUES DE SPECTACLES VIVANTS
Sophie Trommelen, vu le 14 juillet 2022 au Théâtre Le Petit Chien dans le cadre du Festival d’Avignon
Interview Julia Leblanc-Lacoste
Interview Koffi Kwahulé
" [...] Cette pièce est un véritable ascenseur émotionnel. Qu’on aime ou pas Arletty, qu’on la connaisse ou pas, la pièce ne peut pas nous laisser indifférents, et nous donne envie de se renseigner sur cette actrice encore bien présente dans la grandeur du cinéma et de ses films cultes. Elle a donné la réplique aux plus grands, parce-qu’elle était elle-même une grande artiste.
Je souhaite un bel avenir à cette très belle pièce et tout le succès qu’il mérite : bravo à la belle Julia Leblanc-Lacoste pour son seule-en-scène, c’est une belle prouesse, elle ira loin.
Merci Koffi Kwahule de livrer des textes aussi beaux et aussi justes, qui font honneur à la langue française.
Et bravo Kristian Fredric pour cette mise en scène aussi esthétique, à la fois pudique et osée.
Allez, je ne résiste pas: « Atmosphère, atmosphère, j’ai une gueule d’Atmosphère? ».
Silly Cassin - Nourritures Litteraistres
" [...] Ainsi découvrons-nous que ce spectacle au titre mystérieux n’est pas uniquement un spectacle sur Arletty mais une interrogation intemporelle sur la force de la passion, la place des femmes, leur résistance et leur liberté.
Le jeu époustouflant de Julia Leblanc-Lacoste et la mise en scène excellente de Kristian Frédéric servant magnifiquement le texte de Koffi Kwahulé nous mettent et nous tiennent en éveil et c’est là toute la force de ce très beau spectacle.
Marie-Céline Nivière - L'oeil de l'olivier
https://www.loeildolivier.fr/2021/10/arletty-une-sacre-gueule-dartiste-esquisse-par-koffi-kwahule/
" (...) Julia Leblanc-Lacoste n’est plus dans l’interprétation, mais l’incarnation. Une prestation si incroyable et intense qu’elle en devient inquiétante.
Je vois une femme vibrante, entière, dressée, telle une sculpture de Giacometti. Kristian Frédric
Arletty, mêlant jeu, son et musique est un spectacle bouleversant et passionnant. Ce spectacle contient tant d’inventivités et de références qu’il faut plusieurs minutes pour en sortir et se dire « Qu’elle merveille ! »
Bonfils Frédéric - Foudart
" [...] POINTS FORTS
• Ce spectacle est fascinant. Dès les premiers mots, nous sommes confrontés à l'immense personnalité d'Arletty, avec sa liberté de ton, son indépendance d'esprit, son refus de se glisser dans le moule, son insolence invétérée devant l'ennemi. Elle revendique bien haut sa liaison et son amour pour un officier allemand.
• D'entrée de jeu, nous sommes confrontés à une interprétation puissante, servie par une actrice qui a du coffre et qui se fond complètement dans son imposant personnage : elle en a les emportements, la rage devant l'imbécillité humaine et les interrogatoires insensés, la poésie aussi lorsqu'elle parle de son officier. Elle défie le monde entier. Elle est épuisante de vitalité.
• La comédienne ne fait qu'une avec son héroïne, et pourtant récupère par moments sa personnalité propre et entend interpréter sa mélodie à elle. Mais elle est littéralement habitée par Arletty au tempérament hors pair, qui ne lâche jamais rien et n'hésite pas à clamer lors des interrogatoires, avec sa gouaille inimitable : « mon coeur est français mais mon cul est international ! [...] QUELQUES RÉSERVES
Il n’y en a (seconde) guère (mondiale).[...]».
Anne-Marie Joire-Noulens - CultureTops
Julia Leblanc-Lacoste oscille entre la gouaille et les imprécations d’une femme à l’indépendance assumée, imperméable à toute hypocrisie. Au fur et à mesure que le personnage se dévoile, son interprète endosse un costume-carapace avec lequel son Arletty se collettera, une nouvelle fois à ses souvenirs, ses éblouissements et ses fantômes. Comme un oeuf dansant au milieu des galets.
LES SORTIES DE MICHEL FLANDRIN vu au Théâtre Le Petit Chien dans le cadre du Festival d’Avignon
Revue de presse
"I'D RATHER BE HATED
FOR WHO I AM
THAN LOVED
FOR WHO I AM NOT"
KURT COBAIN
De nos jours, une loge de théâtre …
Alors qu’une comédienne se prépare à rentrer en scène pour interpréter Arletty… elle plonge dans un rituel de la mémoire par superstition… « Je m’appelle Arletty, née Léonie Maria Julia Bathiat et je suis le baiser de la vierge et de la putain, une femme dangereuse donc. »
Au fur et à mesure de sa déambulation, nous découvrons le destin de ces deux femmes, qui veulent vivre leurs passions malgré le regard des autres.
Ce spectacle dresse le portrait de deux femmes affranchies : celui d’Arletty, au destin hors normes, prête à défier les plus hautes autorités pour imposer sa vision du monde libre, et celui d’une femme de nos jours qui veut vivre pleinement son identité.
Par son amour sacrilège pour l’occupant, Arletty oppose l’ordre individuel à l’ordre national : « Mon cœur est français, mais mon cul est international ». Elle, face à la Nation. Tandis que la locutrice affirme son amour à la femme qu’elle aime.
L’écriture charnelle, obsédante, saccadée de Koffi Kwahulé est servie par une scénographie “en réalité augmentée” de Kristian Frédric faisant voyager le spectateur aussi bien dans les pensées des personnages qu’à travers l’histoire du cinéma.
Notes du metteur en scène
Ce sera une loge sur un lieu de tournage, quelque part en Europe.
Face à nous est-ce Arletty qui se confie ou une actrice engagée pour l’interpréter ?
Cette position schizophrénique de l’acteur est un axe passionnant pour traiter de l’ambiguïté de cette femme dans le monde qu’elle a traversé. Arletty, femme affranchie, arrogante, prête à défier les plus hautes autorités pour imposer sa vision du monde libre, une Antigone moderne face à la petitesse du jugement, une féministe avant l’heure mais surtout une femme libre !
Cette femme hors normes n’a rien à envier à toutes celles qui plus tard vont se dresser face au despotisme masculin à travers le mouvement Me too. Elle choisira à qui elle appartient, à qui elle s’offrira, malgré la bienséance populaire : « Mon cœur est français, mais mon cul est international » lancera-t-elle à la vindicte prête à la lyncher.
J’imagine un lieu du monde où l’on se prépare à interpréter, où l’endroit des confessions intimes résonne comme une prière. Dans ce monde clos, les pensées transformeront la poétique de l’espace. Une loge, un mur de pierre et des fulgurances visuelles qui s’inviteront dans cette déambulation de l’âme. C’est en découvrant l’endroit magique du Lavoir Moderne Parisien que l’espace scénographique s’est invité à moi. J’imagine demander à des plasticiens visuels d’inventer ce mur comme une matière vivante, transpirante, pouvant d’un seul coup nous transporter dans des imaginaires. Non pas un mur des lamentations mais un mur du désir et du souvenir, comme si l’un et l’autre étaient liés à tout jamais.
J’entends aussi certains de ses chants, comme des comptines qui se seraient immiscées, malgré nous, dans nos mémoires. J’y vois une femme vibrante, entière, dressée, telle une sculpture de Giacometti. Je ressens une mère que j’aurais aimé connaître et qui aurait pu malgré la société vivre ses contradictions. J’y vois en fait tout ce qui m’anime depuis des années : Vivre et croire à nos rêves, malgré le jugement de quelques uns, détenteurs d’un pouvoir dérisoire, et si peu ancrés à regarder les beautés qui veulent éclore.
Qui d’entre nous sera Créon ? Il serait bien prétentieux de croire être à jamais préservé de l’être. Face à la pureté
de l’amour, même interdit, ne doit-on pas faire évoluer nos regards ?
Kristian Frédric
“ Arletty est punk. Diamant brut, elle fait ses choix au gré fidèle de ceux qui l’émeuvent et sans souci de plaire ou de déplaire.
Quel que soit le prix à payer, elle ne se dédie pas, l’Amour en étendard.
Arletty n’a rien à prouver à personne, jamais !
Elle habite profondément son corps, sa voix, sa vie, ce qui la rend incommensurablement unique. Elle est, ni plus ni moins.
“Je suis vivante c’est tout” répond, lumineuse et grave, Garance à Baptiste qui la trouve si belle dans Les enfants du Paradis.
Arletty est nécessaire !
Construire avec Kristian Fredric dans la matière organique, ciselée, philharmonique de l’écriture de Koffi Kwahulé, est tout simplement
le plus beau cadeau à faire à une comédienne. “
Julia
Julia Leblanc-Lacoste / Comédienne
Formée au théâtre physique et à la méthode Grotowski, Julia Leblanc-Lacoste fait ses premières armes de comédienne au théâtre sous la direction d’Emmanuel Demarcy-Mota dans Dom Juan et au cinéma, sous le regard de Laurent Bouhnik pour le tournage de Select hotel. Elle traverse l’écriture d’Edward Bond, Feydeau, Mishima, Pasolini, Pinter, Fassbinder, Wedekind, interprète Merteuil dans Quartett de Heiner Muller et la mère dans J’étais dans ma maison et j attendais que la pluie vienne de Jean Luc Lagarce au théâtre de Vanves . Au Laboratoire de Formation au théâtre physique, elle entame une série de collaborations avec Benjamin Porée qui la dirige dans Démons de Lars Noren, Les Européens d’Howard Barker et l’intègre à Platonov au théâtre de Vanves puis au théâtre de l’Odéon-ateliers Berthier. Danseuse contemporaine, elle rejoint en 2018 le Groupe SUZANNE avec lequel elle interprète STATU, une pièce de 24 heures ininterrompues pour 10 danseurs à la Villette, et Regarder le soleil sous la direction de la plasticienne Adélaïde Feriot au Centre National de la danse puis au Palais de Tokyo. Au cinéma on la retrouve dans de nombreux courts métrages; le film d’Antoine Paley le gros et la pute et la chambre noire de Morgane Segaert, sélectionnés chacun dans plus de 60 festivals internationaux, lui ont offert des prix d’interprétation au Festival du court metrage d’Auch, au TMFF et au Festival du Film Fantastique de Menton 2018.
Koffi Kwahulé / Auteur
Né en 1956 en Côte d’Ivoire, Koffi Kwahulé est à la fois auteur, essayiste, comédien et metteur en scène. Il a commencé sa formation à l’institut National des arts d’Abidjan, l’a poursuivie à l’école Nationale Supérieure des arts et des techniques du Théâtre de Paris (rue Blanche). Il a obtenu un Doctorat d’Études théâtrales à la Sorbonne Nouvelle Paris III.
Il est l’auteur d’une trentaine de pièces, publiées aux éditions Lansman, Actes-Sud, Acoria et Théâtrales, traduites en une vingtaine de langues, et créées en Europe, en Afrique, en Amérique latine, aux USA, au Canada, au Japon et en Australie. Koffi Kwahulé est Chevalier des Arts et des Lettres.
Il est également nouvelliste et romancier (Babyface, Ed. Gallimard, 2006, Grand Prix Ahmadou Kourouma, Monsieur Ki, Ed Gallimard et Nouvel an chinois, Ed. Zulma, 2015).
Grand Prix de Littérature Dramatique 2017 (Artcena) et Prix Bernard-Marie Koltès 2018 (TNS) avec L’Odeur des arbres (éditions Théâtrales). Il a reçu pour l’ensemble de son oeuvre le Prix Edouard Glissant (2013), le Prix Mokanda (2015) et le Prix d’Excellence de Côte d’Ivoire (2015).
Équipe artistique
Auteur Koffi Kwahulé
Comédienne Julia Leblanc-Lacoste
Mise en scène/
scénographie Kristian Frédric
Assistante écriture
mise en scène Marie Lecocq
Stagiaire
mise en scène Cassandra Le Riguier
Conception vidéo /
univers Transmédia Soo Lee
et Youri Fernandez
Concepteur sonore Hervé Rigaud
Concepteur lumière
et regisseur Yannick Anché
Régisseur son et vidéo Frank Harriet
Accessoiriste Sarah Brousse-Martinez
Construction décor Atelier Lasca
Graphisme affiche Thomas Ladret
Production
Producteurs Cie Lézards Qui Bougent Fabrik Théâtre Opéra (64)
Co-producteurs (à ce jour) Cie Graines de Soleil - Le Lavoir Moderne Parisien (LMP) (75) - La Ville d’Anglet (64) - Le Toursky à Marseille (13) - Julia Leblanc-Lacoste - Koffi Kwahulé - Kristian Frédric
Partenaires (à ce jour)
La Ville de Bayonne - Le Conseil départemental des Pyrénées-Atlantiques - La Région Nouvelles Aquitaine - Cultures Connectées - Communauté des Communes du Pays Basque - Dômes Studio - Louxor - Palais du Cinéma - Record Eye - la terrasse
lieux partenaires (à ce jour)
After Before - Pavillon 108 Fumel (47) - Le Petit Chien Théâtre Avignon (84) - MVC Saint-Etienne Bayonne (64) - ESCM de Bayonne (64) - La Merise Trappes (78) - Théâtre Du Pont Tournant Bordeaux (33) - Ville de Mourenx (64)
CRÉATION
< 4-31 janvier 2021 / Bayonne (64)
< 1-15 février 2021 / Anglet (64)
TOURNÉE
2021
< 16 - 20 fév / Anglet (64)
Représentations Sortie de résidence / Réservées aux pro
< 6 oct - 14 nov / Paris (75)
< 16 nov / Trappes (78)
< 18 nov - 21 nov / Bordeaux (33)
< 23- 26 nov / Marseille (13)
< 30 nov - 4 dec / Anglet (64)
2022
< 7 au 30 juil 2022/ FESTIVAL AVIGNON OFF / Avignon (84)
Théâtre Le Petit Chien - 17h30
< 18 et 19 octobre / Mourenx (64)
Soit 74 représentations à ce jour
Dossier de presse
Une comédienne marche dans Paris
pour rejoindre sa loge de théâtre,
deux mondes se superposent, le réel
et l'imaginaire.
À vous de l'accompagner !